#exposVues
#OduMazaubrun
Musée Marmottan - Claude Monet - Berthe Morisot
2024-08-17 10-42-26 BP
2024-08-17 10-42-39 BP
2024-08-17 10-42-51 BP
2024-08-17 10-42-59 BP
2024-08-17 10-43-30 BP
2024-08-17 10-44-04 BP
2024-08-17 10-44-41 BP
2024-08-17 10-47-00 BP
2024-08-17 11-17-19 BP
2024-08-17 11-18-00 BP
2024-08-17 11-18-15 BP
2024-08-17 11-18-33 BP
2024-08-17 11-19-00 BP
2024-08-17 11-20-16 BP-2
2024-08-17 11-21-06 BP
2024-08-17 11-21-47 BP
2024-08-17 11-22-15 BP
2024-08-17 11-23-11 BP
2024-08-17 11-23-36 BP
2024-08-17 11-23-52 BP
2024-08-17 11-24-09 BP
2024-08-17 11-24-29 BP
2024-08-17 11-24-59 BP
2024-08-17 11-25-13 BP
2024-08-17 11-25-37 BP
2024-08-17 11-27-04 BP
2024-08-17 11-28-02 BP
2024-08-17 11-28-23 BP
2024-08-17 11-28-28 BP
2024-08-17 11-28-35 BP
2024-08-17 11-28-59 BP
2024-08-17 11-29-21 BP
2024-08-17 11-29-31 BP
2024-08-17 11-29-50 BP
2024-08-17 11-30-06 BP
2024-08-17 11-30-37 BP
2024-08-17 11-31-17 BP
2024-08-17 11-31-32 BP
2024-08-17 11-31-49 BP
2024-08-17 11-32-15 BP
2024-08-17 11-41-27 BP
2024-08-17 11-42-33 BP
2024-08-17 11-42-42 BP
2024-08-17 11-43-01 BP
2024-08-17 11-43-47 BP
2024-08-17 11-44-00 BP
2024-08-17 11-44-09 BP
2024-08-17 11-44-18 BP
2024-08-17 11-44-41 BP
2024-08-17 11-44-55 BP
2024-08-17 11-45-16 BP
2024-08-17 11-45-32 BP
2024-08-17 11-46-20 BP
[présentation]
Musée Marmottan
Claude Monet - Berthe Morisot
Claude Monet appliquait de multiples couches de peinture sur ses toiles, créant à l’aide de touches de pinceau rapides une profondeur et des variations subtiles des couleurs. Cette épaisseur permet à la lumière de jouer sur les différentes textures et couches de pigment. Dans certaines parties des Nymphéas, Monet utilise la technique de l’impasto : la peinture est appliquée de manière tellement épaisse qu’elle crée des reliefs, donnant aux fleurs de nénuphars et aux reflets une dimension tactile.
Pour Claude Monet, la matière picturale devient le sujet même de l’œuvre. Au-delà d’une représentation de la nature, il s’intéresse à la manière dont la peinture en transmet les sensations : la fluidité de l’eau, la densité des fleurs, la légèreté de l’air. La matière picturale est non seulement un moyen de représentation, elle devient une exploration des qualités physiques du monde naturel.

La palette lumineuse de Berthe Morisot, composée de tons clairs et pastel privilégiant les blancs, nimbe ses toiles d’une atmosphère éthérée. Impression renforcée par les jeux de transparences - voiles, rideaux ou traitement des chairs - qui donnent à ses œuvres une dimension presque onirique.
Le coup de pinceau rapide et fluide crée une impression de mouvement et de spontanéité. Cette technique libre, presque aérienne, produit des formes évanescentes dont les contours esquissés se dissolvent sur la toile.
Les compositions, souvent asymétriques, jouent des perspectives pour créer une sensation d’immédiateté. Berthe Morisot n’hésitait pas à couper les figures ou les objets à l’arrière-plan, conférant à ses œuvres une sensation de modernité et d’intimité.
Revenir à la page précédente