Les oiseaux sont omniprésents dans nos villes. Avec les rats et les insectes, ils font partie de populations qui esquivent notre volonté de maîtrise. Les hommes ont baissé les bras, essayant plutôt de négocier avec eux ou de les tromper par milles ruses que de les contraindre ou de les éliminer.
Comment nous considèrent-ils ? Comme des pourvoyeurs utiles de nourriture, d’eau, d’abris ? Comme des voisins bruyants, mais finalement inoffensifs. Comme des concurrents ou des alliés occasionnels dans leurs stratégies de maîtrise de leurs territoires ? Ou sont-ils indifférents, et nous regardent-ils comme des nuisibles ?
